La dernière modification de cette page a été faite le 5 mars 2019 à 11:09. La région qui va de Charleroi à La Louvière représente une zone mixte dite d’ailleurs du « wallo-picard ». Au cours des XIXe et XXe siècles, Bruxelles s'est transformée d'une ville quasiment entièrement néerlandophone en une ville bilingue, voire multilingue, avec le français pour langue majoritaire et véhiculaire[5]. Ce phénomène, connu en Flandre comme la « tache d'huile »[29], constitue, en même temps que la question du statut de Bruxelles[30], un des principaux sujets de contentieux de la politique belge[18],[31],[32]. Mais dans ces deux villes, plus importantes, les habitants parlent le picard alors qu’au cœur même de la ville d’Enghien, il n’y a pas d’usage collectif du picard ou du wallon, seulement d’un dialecte du néerlandais. Dans les années qui ont suivi l'indépendance de la Belgique en 1830, la seule langue officielle du pays était le français, alors parlé par une minorité aisée de la population ; la plupart des Belges parlaient alors des patois flamands et wallons. L'allemand est la langue officielle et la plus utilisée de la communauté germanophone. En 2009, selon le Réseau Eurydice dans son rapport Chiffres clés de l’enseignement des langues à l’école en Europe – 2012[34], dans la Communauté française de Belgique, 17,7 % des élèves de 15 ans parlaient une langue autre que la langue d'enseignement (le français) à la maison, dont 4,6 % des langues d’Europe occidentale et 3,0 % l’arabe. À l’intérieur du domaine wallon, il existe plusieurs variétés de wallon : l’est-wallon autour de Liège, le centre-wallon autour de Namur, l’ouest-wallon[43] autour de Charleroi. Site web du Service des langues régionales endogènes, http://www.aubange.be/index.php/culturetourisme-18/nos-villages, http://www.soleildegaume.be/download/carte_gaume.pdf, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Langues_en_Belgique&oldid=179729333, Article manquant de références depuis juillet 2018, Article manquant de références/Liste complète, Article contenant un appel à traduction en wallon, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article contenant un appel à traduction en allemand, Article contenant un appel à traduction en espagnol, Article contenant un appel à traduction en italien, Portail:Langues/Articles liés directement, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. ˌ l ɑ n t s /) est la troisième langue germanique, en nombre de locuteurs après l'anglais et l'allemand, avec ses 25 millions de locuteurs maternels.Elle est langue officielle aux Pays-Bas et dans ses territoires d'outre mer, en Belgique et au Suriname.Elle est enfin langue régionale en France. van der Horst. Simultanément, à la suite de l'urbanisation[26], un nombre supplémentaire de communes précédemment néerlandophones de la périphérie bruxelloise devinrent majoritairement francophones[22],[27],[28]. Ce n'est qu'à partir de 1830 que le français est devenu la langue officielle de la justice, de l'administration, de l'armée, de la culture etc. Mais les différences ne s'arrêtent pas là. La ville de Bruxelles ainsi que ses environs est officiellement désignée comme une région bilingue, même si certaine… : néerlandais brabançon) à un autre (p. ex. CodyCross Solution pour NÉERLANDAIS DE BELGIQUE de mots fléchés et mots croisés. La nouvelle miss Belgique a ainsi créé un nouveau sujet de polémique car elle maîtrise mal la langue flamande. L'art et la culture néerlandaise comprennent différentes formes de musiques, de peintures, de styles architecturaux et de modes vestimentaires, dont certains artistes, tels Rembrandt van Rijn, Vincent van Gogh, Johannes Vermeer et Jacob van Campen sont reconnus à l'échelle mondiale. Il y a 136 communes qui ont ce statut. La commune de Zaventem demande aux non-néerlandophones ne parlant pas suffisamment bien le néerlandais de se présenter aux guichets communaux avec un interprète Il est pourtant encore parlé (ainsi que les dialectes apparentés) dans quelques communes francisées proches de la frontière linguistique : Enghien, mais aussi Mouscron et Comines à certains égards. Le royaume des Pays-Bas (en néerlandais: Koninkrijk der Nederlanden) est un pays d’Europe du Nord limité à l’est par l’Allemagne, au sud par la Belgique et au nord par la mer du Nord.La superficie des Pays-Bas est de 41 528 km², soit l'équivalent de la Suisse (Belgique: 32 545 km²; France: 547 030 km²; Allemagne: 357 021 km²). La dernière modification de cette page a été faite le 9 février 2021 à 09:20. Elles affectent la tournure, le vocabulaire et la prononciation. L'ensemble forme un continuum sans transition précise, le Rhin dessinant cependant une nuance plus marquée. Arrêté de l'exécutif de la Communauté française du 19 mars 1991, instituant un Conseil des Langues régionales endogènes de la Communauté française. Les frontières de la «région de langue allemande» furent précisées et des «communes à statut spécial» pour les francophones et les germanophones (selon le cas) furent prévues. Par exemple « Wemmel » reste Wemmel en néerlandais. G. Geerts, M.C. Ensuite, le belgo-néerlandais normalisé a remplacé le français comme langue de scolarisation en 1886, ce qui a coïncidé avec l’alphabétisation du pays flamand. Si la dénomination originelle provient en fait de l'ancien chef-lieu du Duché de Limbourg (sur Vesdre) situé à la frange sud de ce parler, ce sont surtout les habitants du Limbourg néerlandais qui utilisent ce vocable pour désigner ce bas-francique méridional qui s'étend par ailleurs jusqu'au Rhin en Allemagne (régions de Heinsberg, Mönchengladbach, Düsseldorf). En effet, même si nous partageons la même langue, nous Français, n’utilisons pas toujours les mêmes mots. Dans reste de la périphérie bruxelloise, les communes n'ont pas le statut de commune à facilité mais le français est utilisé par une partie de la population. Ces nationalités sont originaires d’Italie (10 %), de la France (9,7 %), des Pays-Bas (9,1 %), du Maroc (5,3 %), de la Pologne (3.9 %), de l'Espagne (3,4 %), de la Roumanie (3,2 %, etc. Miranda (49 ans) de la ville néerlandaise d’Oosthout et son fils Marciano (15 ans), qui vit dans la ville frontalière d’Essen, sont du même avis. Beaucoup de gens qui ont été à Amsterdam ou Utrecht, sur la question de la langue parlée aux Pays-Bas, répondent inconsidérément: allemand. « J’ai déjà eu un retour de mail de l’Union de la langue néerlandaise (émanation des ministères de la Culture et de l’Éducation nationale des Pays-Bas, de la Flandre belge, du Surinam et de la Guyane néerlandaise, ndlr) et du représentant de … Exercices néerlandais: Villes. Ou de ce qui se fait actuellement dans des établissements à Halluin, Roubaix et Tourcoing où 7 à 8 h de néerlandais sont dispensés dans le cadre de la section langue étrangère renforcée. Les communes de Bruxelles [modifier | modifier le wikicode] Connaissez-vous le nom de ces communes en néerlandais ? L'allemand est parlé à l'est de la Wallonie : c'est le « trésor de guerre », petit territoire d'Allemagne devenu belge après la première guerre mondiale. Le néerlandais d’outre-mer. Les langues officielles Enfin, au sud-est se délimite une zone moyen-francique (dite allemande par convention) comprenant, du nord au sud, le francique rhéno-mosan (nl : Platdiets) et le francique ripuaire (canton d'Eupen), ainsi que le francique mosellan (canton de Saint-Vith) et le luxembourgeois (Arlon). Il existe ainsi une littérature wallonne et une littérature picarde. Liste. La Belgique est un pays de l’Europe très apprécié pour sa diversité et son savoir-faire. Jusqu'à présent, ce statut de « langues régionales endogènes » n’a pourtant pas eu de répercussions concrètes sur la politique linguistique. Dans les grandes villes, les chiffres sont encore plus frappants, selon De Morgen. Belgique (6 000 000 locuteurs); États où le néerlandais est utilisé. En effet, la Belgique est un pays de 12 millions d’habitants, et sur un poste de management ou à responsabilités par exemple, vous serez souvent amenés à traiter avec des non-francophones. Vous l’avez compris, nos amis Belges se soucient de nous apprendre à parler correctement le français de Belgique. J. Fleerackers, chef de cabinet du ministre belge de la culture néerlandaise et des affaires flamandes. Elle comprend, à l'extrémité est de la province de Liège (853 km²), neuf communes germanophones qui comptent une bonne partie des membres de la Communauté germanophone de Belgique (70 472 habitants). Les régiolectes brabançon et est-flamand sont très peu marqués par rapport au standard car ses deux allolectes bas-franciques correspondants sont déjà proches de l’acrolecte belge parlé, et les locuteurs de ces régiolectes peuvent alterner leur discours librement entre régiolecte et acrolecte. La région de Tongres en Limbourg belge utilise le limbourgeois central de Maastricht, Hasselt le limbourgeois de l'Ouest, et Saint-Trond une variété intermédiaire avec le Brabançon.). Aujourd'hui, la Belgique compte trois langues officielles : le néerlandais, le français et l'allemand. Les Français, eux, sont plus attirés par l'autre côté de la Wallonie, probablement du fait de la proximité avec un Nord-Pas-de-Calais très peuplé. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un conseiller communal ayant prêté serment en wallon est considéré comme démis et se fait évacuer par le service d’ordre. Indonésie (30 000 locuteurs (seconde langue), 5 000 en langue maternelle) (1999) Ce francique rhéno-mosan (dit aussi carolingien), s'il se distingue du ripuaire (qui a subi la différenciation consonnantique), garde néanmoins un certain nombre de similitudes avec lui et les deux restent facilement intercompréhensibles. Pays-Bas (16 000 000 habitants); Suriname (300 000 habitants); États où le néerlandais est l’une des langues officielles. La Belgique est divisée en 3 régions et en provinces (l'équivalent du département français) et compte 3 communautés linguistiques : le néerlandais, le français et l'allemand. À côté d'une immigration française et wallonne, cette progression du français s'explique avant tout par la conversion linguistique de la population néerlandophone au cours des générations[9]. Partout, le peuple parlait alors surtout des langues régionales et le pays servait de carrefour linguistique. Si la Wallonie s'est peu à peu francisée ainsi que Bruxelles, ce n'est pas le cas de la Flandre où le mouvement flamand militait pour la reconnaissance du néerlandais comme langue nationale aux côtés du français. Mais la distinction est plus tranchée pour désigner l’écureuil : spirou en wallon, bosquètia en picard. Une négociation qui semble donc en bonne voie, d’autant que le président de la Maison du Néerlandais a eu de bonnes nouvelles. Les différences entre picard et wallon peuvent tenir aux suffixes (iau en picard, ia en wallon) ou au début des mots (tchapia en wallon, capiau en picard). En Flandre se parlent : Autrefois, il ne se parlait que deux parlers, à savoir le français, langue d’administration, et les langues bas-franciques. Ville. Un mot traduit cette mixité, c’est le mot toudi (qui veut dire « toujours »), qui devient todi dans les zones centre-wallon et est-wallon. Les langues étrangères les plus étudiées en Communauté française de Belgique en pourcentage d’élèves qui les apprennent dans l’enseignement secondaire inférieur (CITE 2) en 2009/2010 sont le néerlandais avec 58,8 %, suivi de l’anglais avec 38,8 %, puis enfin de l’allemand avec 1,7 %[35]. Au Sud c'étaient des langues d'oïl : le wallon (très majoritaire), le picard (en Hainaut occidental), le lorrain gaumais et le champenois sugnysien. Lors de la proclamation de l'indépendance de la Belgique en 1830, ni le français, ni le néerlandais standard n’étaient la langue de la majorité de la population. Si vous êtes flamand et que vous roulez en Wallonie, vous devrez savoir lire Bruges, Anvers, Gand, Courtrai plutôt que Brugge, Antwerpen, Ghent et Kortrijk. Sur le plan pratique, de nombreuses variantes locales subsistent, tant aux Pays-Bas qu'en Flandre. Sera de Vriendt, Els Witte, Ann Mares (réd.). Ci-dessous, la liste de toutes les communes, villes et villages de Belgique dont les noms commencent par la lettre A. 1 Situation géographique et administrative. Depuis la Baraque Michel, en passant à l'est d'Eupen mais à l'ouest de Raeren (entre Hauset et Hergenrath) la « Ligne de Benrath » (qui se prolonge dans le Limbourg néerlandais puis en Allemagne) sépare les parlers appartenant au moyen-francique, dont le ripuaire, des parlers classés comme bas-franciques, dont le francique rhéno-mosan parlé d'Eupen à Fouron-Saint-Martin en Belgique mais aussi à Heerlen au Limbourg néerlandais, Heinsberg, Mönchengladbach et Düsseldorf en Allemagne. Traductions en contexte de "les villes" en français-néerlandais avec Reverso Context : dans les villes, les grandes villes, toutes les villes, les villes européennes, entre les villes van den Toorn, W. Pijnenburg, J.A. Le 24 décembre 1990, la Communauté française de Belgique a reconnu plusieurs langues comme étant des « langues régionales endogènes », au côté du français qui est reconnu comme la seule langue officielle. Cette transformation démarra graduellement au XVIIIe siècle[13] mais prit toute son ampleur lorsque la Belgique devint indépendante et que Bruxelles déborda au-delà de ses murs[14],[15]. D'autre part, au nord comme au sud du pays, la bourgeoisie était francisée. Cela résulte de la distanciation relative (du standard) en ce qui concerne le degré de particularité linguistique et l’absence de l’inter-compréhension d’un allolecte donné vis-à-vis de l’acrolecte (néerlandais standard). Les allolectes sont en recul. Au XXIe siècle, la situation flamande, avec trois couches linguistiques, est plus vivace que celle connue par la communauté française. En Belgique, vous parlez la langue que vous voulez. La protection et la promotion des langues régionales endogènes revient au Conseil des langues régionales endogènes (wa)[41], épaulé par le Service des Langues régionales endogènes de la Communauté française[42]. On estime par exemple que le Borinage est une région qui, du fait de l’immigration d’autres contrées wallonnes, a un parler « mélangé ». En sociolinguistique, on appelle dialecte consécutif tout régiolecte qui se substitue à un allolecte endogène apparenté à la langue de base ; l'allolecte cédant ou cédé s'appelle dialecte constitutif. On pourra s'étonner de voir ici figurer l'allemand. À partir des années 1960[21], à la suite de la fixation de la frontière linguistique[22] et de l'essor socio-économique de la Région flamande[18], la francisation des néerlandophones a stagné[23],[24]. Ce pays est connu pour ses villes médiévales et son architecture. La Région de. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres mots utiles Disons que t'as plus de chances de trouver quelqu'un qui parle français dans cette partie de la belgique qu'un hollandais de trouver quelqu'un qui parle le néerlandais … La Belgique est un des quelques pays membres du Conseil de l'Europe à n'avoir pas ratifié la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires. Le néerlandais se distingue de l'allemand — dont il est proche — entre autres par l'absence de la seconde mutation consonantique, l'abandon du système de déclinaisons, et la souplesse de l'ordre de mots. ), Régimes démographiques et territoires: les frontières en question : colloque international de La Rochelle, 22-26 septembre 1998, 19 keer Brussel; Brusselse Thema's (7) [157-185], 19 keer Brussel; Brusselse Thema's (7) [281-336]. Les années 1970 marquèrent le début d'une coopération culturelle et linguistique formelle entre la Belgique (Fland… Si vous lancez une idée foireuse dans une réunion de travail, on vous coupera brutalement la parole. : néerlandais est-flamand). Il est utilisé aussi dans les vieux textes par exemple les chroniques de Froissart. La place de ces langues dans les médias publics reste également très faible. On peut estimer qu’il a été parlé encore au début du XXe siècle par les trois-quarts des Wallons. La francisation réelle et massive de la population urbaine ne commença cependant que dans la seconde moitié du XIXe siècle[16]. Le limbourgeois est parlé en Belgique près de la frontière sud des Pays-Bas et la frontière avec l’Allemagne (autour de la petite région du Limbourg néerlandais qui forme une quasi-enclave des Pays-Bas entre la Belgique et l’Allemagne), au nord-est de la Région wallonne. L'auteur est professeur ordinaire à l'Université libre de Bruxelles. Nombre de villes et villages par lettre de l’alphabet: A 117, B 324, C 95, D 79, E 102, F 93, G 129, H 230, IJK 137, L 184, M 235, NO 207, PQR 214, S 253, TU 104, V 131, W 160, XYZ 255. Un petit regard dans le passé littéraire et politique. | Cours et exercices de néerlandais 100% gratuits, hors abonnement internet auprès d'un fournisseur d'accès. Et le plus fascinant parmi les grandes villes: Mons, qui devient Bergen en néerlandais. Le français est parlé dans la quasi-totalité de la Wallonie, où il coexiste avec divers parlers romans (surtout) et germaniques (un peu). Situé au nord du vieux continent, le Royaume de Belgique dispose d’un impressionnant patrimoine culturel. Au cours du XXe siècle, les Flamands sont désormais diglossiques, dont la conséquence la plus récente est la création et l’essor des régiolectes belgo-néerlandais au profit des allolectes bas-franciques. Le luxembourgeois (appelé aussi « francique mosellan »), compte en 2008 entre 15 000 et 22 000 locuteurs dans le Pays d'Arlon (voir dialecte arlonais). Cette liste des villes belges comprend les communes ayant légalement le statut de ville. La Flandre ? Question subsidiaire : devinez dans quelle province ces villes et ces communes se situent. Et pour finir, bon nombre d’entreprises belges sont des entreprises flamandes , qui vous exigeront donc de parler leur langue, même si vous travaillez depuis Bruxelles. Le thiois est parlé dans la communauté germanophone dans les communes de Lontzen, Eupen et La Calamine. Il faut donc préciser que les deux bourgades de Halanzy et de Rachecourt, bien qu’"arlonnaises" sont bien le terreau de locuteurs gaumais [44],[45]. À partir de 1880[17], on constate une véritable explosion de bilingues au détriment des néerlandophones unilingues[11],[18]. Il existe de nombreuses variantes dialectales en Flandre et aux Pays-Bas qui sont liées à des villes (bourgs) ou provinces. Graduellement on a commencé à appliquer le nom Flandre à toutes les provinces néerlandophones et le nom Wallonie à toutes les provinces francophones (quoique le mot wallon avait depuis longtemps un sens parent : ainsi le Brabant wallon fut nommé comme tel au XVIe siècle[4]). Villages de Halanzy et Rachecourt - site web de la commune d'Aubange : voir aussi la carte de la Gaume sur le site, Dépendances et territoires à souveraineté spéciale, langue des signes de Belgique francophone, communes à facilités de la périphérie bruxelloise, Charte européenne des langues régionales ou minoritaires, Législation sur l'usage des langues en Belgique, Signalisation routière bilingue en Belgique, Étude de socio-linguistique sur des francophones scolarisant leurs enfants en Flandre, https://www.unicode.org/cldr/charts/dev/keyboards/layouts/nl.html#nl-BE-t-k0-android, https://www.unicode.org/cldr/charts/dev/keyboards/layouts/fr.html#fr-BE-t-k0-chromeos, https://www.unicode.org/cldr/charts/dev/keyboards/layouts/de.html#de-BE-t-k0-chromeos, L’usage des langues à Bruxelles et la place du néerlandais. Il est à noter que les allolectes bas-franciques brabançon et flamand oriental sont parfois estimés par erreur des variétés du néerlandais, au contraire du flamand occidental et du limbourgeois qui se rapprochent très peu du néerlandais. En 2009, selon le Réseau Eurydice dans son rapport Chiffres clés de l’enseignement des langues à l’école en Europe – 2012[34], dans la Communauté flamande de Belgique, 6,8 % des élèves de 15 ans parlaient une langue autre que la langue d'enseignement (le néerlandais) à la maison. Il existe aussi des zones wallo-lorraines entre Neufchâteau et la Gaume par exemple, les frontières entre langues romanes étant moins tranchées que les divisions entre zones de langue germanique et de langue romane. Remarquez que l’inverse est aussi vrai. "La boulangerie dans mon quartier est tenue par une famille marocaine qui parle le néerlandais", souligne notre interlocuteur qui renchérit : "Au guichet de la maison communale, j’ai rarement affaire à des personnes qui ne maîtrisent pas le néerlandais. Le néerlandais ne se transmettait plus à la génération suivante[19], ce qui a eu pour effet une augmentation considérable du nombre des francophones unilingues après 1910[20]. Communication avec les adverbes allemand . Puis, la Loi sur l'emploi des langues en matière administrative coordonnée le 18 juillet 1966 instituait le régime linguistique tel qu'on le connaît aujourd'hui. Les Néerlandais sont des friands de campings (33,8 %) là où les Français ne sont que 6,9 % à choisir ce type d'hébergement. Situation linguistique en communauté flamande, Situation linguistique en communauté française, Situation linguistique en communauté germanophone. Statut du néerlandais par territoire États où le néerlandais est langue officielle unique. Le luxembourgeois (appelé aussi « francique mosellan ») compte en 2015 17 000 locuteurs dans le canton de Saint-Vith (communes de Burg-Reuland et Saint-Vith, ainsi que certains villages de la commune de Bullange). Le brabançon est parlé en Région de Bruxelles-Capitale où il est appelé brusseleer. Les langues régionales endogènes sont truffées de mots flamands, par exemple à Charleroi. Au Nord, il s’agissait de langues bas-franciques : le flamand occidental, le flamand oriental, le brabançon et le limbourgeois. [Plus de cours et d'exercices de mariebru] Voir les statistiques de réussite de ce test de néerlandais Merci de vous connecter au club pour sauvegarder votre résultat. Outre-Atlantique, le néerlandais s’est maintenu au Surinam (ex-Guyane hollandaise, quelques 450.000 locuteurs), ainsi qu’aux Antilles néerlandaises (200.000 locuteurs dans les îles d’Aruba, de Curaçao, de Bonaire, de Saba, de Saint Eustache et de Saint Martin). Les tensions linguistiques (qui ont également des composantes culturelles, sociales, économiques, politiques et historiques) ont profondément marqué la vie politique belge depuis le XIXe siècle jusqu'à aujourd'hui et ont joué un rôle central dans la mise en place du fédéralisme belge à partir des années 1970. Le néerlandais, bien que langue officielle de la Belgique, n’a pas de statut officiel en Communauté française de Belgique. Les langues étrangères les plus étudiées en Communauté flamande de Belgique en pourcentage d’élèves qui les apprennent dans l’enseignement secondaire inférieur (CITE 2) en 2009/2010 sont le français avec 92,9 % puis l’anglais avec 46,2 %[35]. En 1919, suite à l'annexion des Cantons de l'Est, une minorité germanophone est intégrée à la Belgique. (Aux localités fouronnaises de Fouron-le-Comte et Mouland se parlent le limbourgeois de l'Est, comme Valkenburg au Limbourg néerlandais. Si l’usage de ces langues régionales endogènes n’est pas admis dans le contexte des actes officiels[39], le décret du 24 décembre 1990 permet cependant d’envisager un soutien significatif aux langues ainsi reconnues[40]. Cette dernière étape vient boucler le processus de néerlandisation de la Flandre. ), 19 keer Brussel; Brusselse Thema's (7) [41-84], Article 2 du décret du 24 décembre 1990 relatif aux langues régionales endogènes de la Communauté française : « Les langues régionales endogènes font partie du patrimoine culturel de la Communauté ; cette dernière a donc le devoir de les préserver, d’en favoriser l’étude scientifique et l’usage, soit comme outil de communication, soit comme moyen d’expression. Les villes sont belles et les plages magnifiques. Pour une liste des communes, voir l'article liste des communes de Belgique, muni des chiffres de population le 1 er janvier 2012. ». Connaissez-vous le nom de ces communes en néerlandais ? Il est également parlé au sud de la Communauté germanophone, dans les communes de Bütgenbach, Bullange et Amblève. La plupart des petites villes et communes de Belgique portent le même nom en français et néerlandais. Exercice de néerlandais "Belgique : villes" créé par mariebru avec le générateur de tests - créez votre propre test ! Lorsque l’on prend en effet conscience que 60 % de la population belge est francophone, on éprouve soudain l’envie de partir découvrir ce pays abritant de nombreux hauts lieux historiques et culturels. Le wallon est parlé sur une large partie de la Région wallonne. La Région wallonne couvre 55 % de la surface du pays et rassemble 32,4 % de la population belge, soit 3,3 millions d’habitants répartis dans 262 communes. Les langues endogènes sont cependant restées plus vivantes dans la partie néerlandophone du pays. À noter : la Gaume, "appellation linguistique " est un tantinet différente de l'arrondissement de Virton - limite administrative - les limites de l'arrondissement de Virton ont été modifiées en 1848, et les communes suivantes ont été rattachées à l'arrondissement d'Arlon : Halanzy - aujourd'hui, commune d'Aubange, Rachecourt - idem - et Meix-le-Tige - aujourd'hui, commune d'Étalle, donc, à nouveau "virtonnais". Néanmoins le français reste une langue très parlée par la population. Difficile de parler de la francophonie sans mentionner la Belgique, à cheval entre les Pays-Bas, l’Allemagne et la France. Les Néerlandais ont sorti leurs patins à … Après la fusion des communes de 1977, certaines communes eurent l'occasion de demander le titre de ville sur base de données historiques (les villes qui eurent ce titre avant l'occupation française ou celles qui eurent un rôle important au Moyen Âge) ou sur base de la fonction de centre urbain qu'elles remplissent aujourd'hui.